Pendant que le Serbe s'interroge à convoler en justes noces avec Jelena, sa petite amie de toujours, Roger Federer vibre devant son club de football et Carlos Moya fabrique des meubles chez Ikea. Tout va bien.
Novak et la bague au doigt
Dans la vie du Serbe, il y a son chien et sa femme. Enfin, surtout sa femme. Récemment, les deux tourtereaux se sont confiés dans les colonnes de Tennis Earth sur une éventuelle union :
« Nous sommes ensemble depuis huit ans et nous envisageons l'avenir en commun parce que nous nous aimons beaucoup tous les deux. On s'assure une stabilité émotionnelle à l'un et à l'autre, et on s'aide dans nos carrières professionnelles respectives », a expliqué Djoko.
Même son de cloche chez la douce Jelena Ristic qui lâche carrément le mot « mariage » : « Nos sentiments mutuels nous guident vers cette issue. Quand nous aurons des enfants, ils vont hériter d'excellents gênes des deux côtés, parce que ma mère fut championne olympique de handball. »
On attend avec impatience le match contre les filles Federer.
La guerre des sexes revisitée
Pour fêter le 10ème anniversaire de l’Open de Chine, Novak Djokovic va affronter vendredi 27 septembre Li Na dans un match exhibition. Un remake, 40 ans après, du célèbre match entre Billie Jean King et Bobby Riggs, resté dans l’histoire sous le nom de Battle of the sexes. Pour l’anecdote, il faut savoir qu’en 1973, l’Américain Bobby Riggs, ancien numéro un mondial et vainqueur de trois majeurs, déclarait « qu’aucune joueuse en activité ne pourrait jamais venir à bout d’un retraité ». Une déclaration qui n’a pas plu à Billie Jean King, numéro 1 mondiale de l'époque. Elle le mit donc au défi de l’affronter et un match fut organisé à l’Astrodome de Houston, devant 35 000 spectateurs. Au meilleur des cinq manches, c’est madame qui s’était imposée (6/4, 6/3, 6/3). Pour Novak et Na Li, l’ambiance sera plus décontractée, on vous rassure.
Première école de la vie pour Djoko
Très engagé dans l’action humanitaire avec sa fondation, Novak Djokovic vient d’ouvrir la première « Ecole de la vie » à Kadina Luka, en Serbie. C’est tout ému que le joueur s’est confié lors de l’inauguration :
« Aujourd'hui, nous commençons à atteindre notre objectif. Pouvoir offrir à tous les enfants de Serbie de l'espace où ils peuvent jouer, apprendre et passer du bon temps aux côtés de leurs professeurs et des parents qui le souhaitent ».
Dans l’école, on retrouvera 12 enfants âgés de 3 à 5 ans. La fondation Novak Djokovic a investi 2,7 millions de dinars serbes (236 000 euros) dans la rénovation et la reconstruction des salles de classe. Beau geste.
Pendant ce temps-là, dans le reste du monde…
John Tomic en remet une couche
La semaine dernière, Thomas Drouet, sparring-partner de Bernard Tomic jusqu’au jour où son tyran de père John Tomic l’a agressé en marge du Masters 1000 de Madrid, confiait à la presse australienne son journal de bord de sa vie chez les Tomic. Il y est question de cris, de punitions, de coups du père envers son fiston, de salaires impayés, de soirées bien arrosées pour Bernard et même de fusils à air comprimé. Une plongée dans le monde complètement déjanté de la famille Tomic qui n’a visiblement pas plu au père.
Pourtant condamné par le tribunal de Madrid à huit mois de prison pour l’agression du Franco-Monégasque, le père du tennisman australien en a remis une couche dans le Sydney Morning Herald :
« Je regrette vraiment de ne pas l'avoir frappé parce que je pense qu'il l'avait mérité. Je sais que mes problèmes seraient encore plus grands maintenant mais quand je vois comment il a menti… […] Je n'ai jamais touché mon fils, mes enfants. Je suis un père très fier et mes enfants m'aiment. »
Ses enfants peut-être, mais pas ses salariés.
Wozniacki ne respecte pas son homme
Entre Caroline Wozniacki et le golfeur Rory McIlroy, l’amour est fusionnel et le rire omniprésent. Ainsi, quand monsieur s’endort brusquement sur le lit, la bouche un peu ouverte et la bave apparente, Caroline n’hésite pas à immortaliser l’instant. Le charisme du golfeur en prend un coup.
Carlos Moya se recycle
1998, Carlos Moya est sur le toit du monde après sa superbe victoire sur la terre battue de Roland Garros. 15 ans plus tard, l’Espagnol, ancien numéro 1 mondial, a rangé sa raquette mais il est toujours sollicité par les annonceurs. C’est notamment le cas avec Ikea pour qui Carlos a conçu un meuble : le Kärlos Moyyä. Si, si.
Dans les valises de Lisicki
Lorsque la sémillante Sabine Lisicki part en tournoi à l’autre bout du monde, à quoi ressemblent ses bagages ? C’est simple, peu de fringues mais beaucoup de raquettes. La preuve : avant le grand départ pour Tokyo, la joueuse a posté une photo de ses affaires.
Le style de la semaine : Sloane Stephens
La joueuse américaine est encore jeune alors on lui pardonne sa faute de goût sur la robe. On dirait un pompon d’une mauvaise cheerleader. Et violet, en plus.
Youzhny et son fils font de la cuisine
Quand il ne détruit pas ses adversaires sur les courts de Saint-Pétersbourg, Mikhail Youzhny embarque Maxim, son fils de trois ans, à des cours de cuisine. Et force est de constater que le fils est vraisemblablement plus doué que le père :
« J'ai le sentiment que c'est plus facile de jouer au tennis que de mouler des raviolis ! Tout ce que je faisais avant, c'était de les mettre dans de l'eau bouillante et d'attendre qu'ils soient prêts pour les manger. Je suis effrayé car je n'aurais jamais la patience de les faire moi-même. Honnêtement, je vais seulement dans la cuisine pour manger. »
La parité attendra.
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Nadal et ses TOCS, de pire en pire
Les bouteilles, le tee-shirt, la raquette, les mèches devant les cheveux, le slip dans les fesses. Bref, Rafael Nadal est rempli de petits gestes superstitieux. Il fait systématiquement la même chose entre chaque point. C’est son truc. Durant l’US Open, l’Espagnol a été encore plus loin puisqu’il a pris le même repas, au même endroit, pendant quinze jours : du bar pêché au Chili avec du riz frit et des nouilles dans le restaurant Tao situé dans le quartier de Midtown East à New-York. On ne change pas une équipe qui gagne.
Andy Murray entraîné par maman ?
C’est TennisWorldUSA qui avance l’hypothèse. Lors du dernier US Open, le Britannique s’est coltiné Denis Istomin, désormais coaché par sa mère. Forcément, puisque la maman entraîne désormais un membre du Top 50, la question d’une éventuelle collaboration mère-fils lui a été posée :
« Peut-être que quand viendra la fin de ma carrière, c'est une chose qui serait agréable à faire. Je sais que tactiquement, elle est très bonne. Et puis fondamentalement, ma mère nous a coaché mon frère et moi jusqu'à nos 11, 12 ans. »
Sharapova ne perd pas son temps
Depuis peu, la Russe fait beaucoup plus parler d’elle sur les Internets que sur les terrains. Forfait à Tokyo car insuffisamment remise d'une blessure à l'épaule, la blonde en profite pour se refaire une santé physique. Et c'est sur la plage que la Russe a effectué sa dernière séance physique. Comme Maria est du genre à partager, elle a balancé la photo de sa séance. Eprouvant…
Sharapova ne parle pas aux autres
Invitée la semaine dernière dans le late show du journaliste américain Larry King, Maria Sharapova a expliqué d’où venait sa mauvaise réputation sur le circuit féminin. Une image qu’elle ne cherche pas à combattre, bien au contraire :
« Je n’ai pas d’amies parmi les joueuses et je ne cherche pas à m’en faire. Je veux dire, ce sport est tellement individuel, la compétition est tellement féroce. C’est dur pour moi de m’imaginer être sympa avec les gens dans les vestiaires, me faire des amies, et le lendemain me retrouver sur le court face à la même personne pour essayer de la battre. Je ne trouve pas cela sain. Alors je l’évite. »
A défaut d’être sympa, Sharapova a au moins le mérite d’être franche.
Azarenka s’engage contre le tabac
On sait la Biélorusse très engagée dans le tennis citoyen. Ainsi, la joueuse vient de tourner un spot pour soutenir et féliciter les anciens fumeurs. Une manière de lutter contre le tabagisme moderne.
Roger Federer comme un môme
On le sait, Roger Federer est un dingue de l’équipe de football de sa ville natale, le FC Bâle. Pour la première journée de la Ligue des champions, les Suisses ont réalisé l’exploit d’aller s’imposer sur la pelouse du Chelsea de José Mourinho (2-1). Un exploit que Roger a savouré à sa juste valeur sur Twitter.
