Maria Sakkari avait de qui tenir, avec une maman, Angeliki Kanellopoulou, ayant fréquenté le Top 50 mondial en 1987. C’est pourtant avec son grand-père que la Grecque a appris le tennis, puis aux côtés d’un certain Stefanos Tsitsipas, qu’elle a progressé au fil du temps. Bonne serveuse, elle est la première Grecque ayant atteint le 3e tour dans les 4 tournois du Grand Chelem. Mais elle a fait mieux, en 2021, en accédant au dernier carré à Roland-Garros - grâce à une victoire en quart sur Iga Swiatek -, puis à l’US Open. Une régularité qui lui a permis d’accéder à la 3e place mondiale en mars 2022, et qu’elle a confirmée en 2023 avec notamment un titre au 500 de Guadalajara (son 2e après Rabat 2019) et des demies au BNP Paribas Open d’Indian Wells, puis au WTA 1000 de Madrid. Et même si elle espère mieux en Grand Chelem, sa force majeure reste la combativité qu’elle affiche systématiquement sur le court. Et son sourire, qui fait l’unanimité en dehors !