5 choses que l’on apprend sur le Twitter d’Angelique Kerber

4 févr. 2016 à 11:31:14

Avec sa victoire à l’Open d’Australie, Angelique Kerber a inscrit son nom dans l’histoire du tennis féminin. Reste que l’Allemande reste pour le grand public une inconnue ou presque. Heureusement, son compte Twitter est là pour combler ces quel

En remportant à 28 ans son premier tournoi du Grand Chelem, Angelique Kerber a inscrit son nom dans l’histoire du tennis féminin. Reste qu’au moment de s’asseoir sur la seconde marche du classement WTA, l’Allemande reste pour le grand public une inconnue ou presque. Heureusement, son compte Twitter est là pour combler ces quelques lacunes.

 

Passion manucure

 

S’il est difficile de connaître la vie d’Angelique sur le bout des doigts, il est en revanche plus aisé de se renseigner sur ses ongles. Tour à tour transparents, bicolores…

 

 

…pailletés…

 

 

…et même tachetés…

 

 

…les extrémités de l’Allemande s’affichent sur Twitter avec une régularité sans faille. Fétichisme assumé pour la manucure ? Plutôt une passion partagée avec sa sœur Jessica, qui œuvre dans un salon de beauté et s’occupe donc d’Angelique à moindre frais. Une attention toute particulière à la beauté des ongles qui laissera en revanche les esthètes de la manucure perplexes.

 

Ana Ivanovic ne la quitte pas

 

Entre Angelique Kerber et Ana Ivanovic, une véritable amitié s’est liée au fil des tournois et évènements. À coups de selfies…

 

 

…plus ou moins bien cadrés, les deux championnes n’hésitent d’ailleurs pas à partager leur quotidien fait de diners…

 

 

…verres en terrasse et galas de prestige.

 

 

Reste que sur le terrain, les deux joueuses de 28 ans connaissent des destins croisés. Devenue numéro 2 mondiale, Kerber doit désormais regarder dans son rétro pour retrouver l’ancienne numéro 1, retombée au 20e rang. Reste à Ana deux avantages sur son amie : le nombre de victoire en face à face (4-2), et cette longue paire de jambes qu’Angelique peut secrètement jalouser.

 

Elle est une sacrée touriste

 

À force de parcourir les tournois en quête de titres et de prize money, les joueuses du circuit WTA commencent à connaître du pays. De voyage en voyage, il pourrait même s’avérer lassant d’être bringuebalé entre avions et hôtels. Sauf pour Angélique, qui fait de chaque étape de son périple tennistique une occasion de satisfaire ses envies touristiques. D’ailleurs, Angélique est rarement déçue. Du Vatican…

 

 

…aux tours de Dubaï…

 

 

…en passant par les roof-tops de Singapour…

 

 

…Kerber parcourt le monde avec la même candeur et un sourire toujours intact. A la limite de l’émerveillement naïf.

 

Elle est fan de football

 

Si Angelique Kerber est désormais la fière représentante féminine de l’Allemagne qui gagne, nul doute qu’elle a largement puisé les recettes de son succès chez ses homologues masculins. En témoignent ses nombreux messages et photos…

 

 

…à l’attention de ses compatriotes footballeurs de la Mannschaft et du Bayern Munich, dont la jeune femme est visiblement fan. De quoi savourer la victoire des Bavarois en Ligue des Champions (2013)…

 

 

…ou encore s‘extasier devant la gifle infligée au Brésil lors du Mondial 2014 (7-1).

 

 

Et même se voir renvoyer la balle par Bastian Schweinsteiger, petit copain de sa pote Ivanovic, qui a tenu à féliciter Angelique pour sa première victoire en Grand Chelem.

 

 

 Deutsche Solidarität.

 

Les Pierogi dans la peau

 

Une petite pâte à raviole, farcie de viande, de pommes de terre, de fromage blanc, de chou, de champignons ou même de myrtilles : telle est la recette du pierogi, un mets fortement apprécié par Angelique. Car à en croire ses photos, la jeune femme ne saurait se délecter autant qu’en avalant ses petites bouchées à la texture tendre et au goût savoureux.

 

 

 

Il faut dire qu’en Pologne, dont son père Slawomir est originaire, le pierogi est une spécialité qui se décline à foison lors des repas. La gourmandise est donc héréditaire.

 

Par Raphaël Gaftarnik

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