Cette semaine, on a vu Rafael Nadal dans un stade de foot londonien, Andy Murray avec une très grande raquette, Steffi Graff faire du trapèze et Jo-Wilfried Tsonga se mettre au rugby. Normal.
Nadal change de club
On le sait, Rafael Nadal est un fan du Real Madrid. Alors quand l’Espagnol est à Londres pour le Masters, il fait une entorse en se rendant à Stamford Bridge pour voir jouer le club de José Mourinho, Chelsea.
Le numéro 1, c’est Rafa
Après sa victoire contre Wawrinka en quart de finale des Masters, l’Espagnol fut assuré de terminer la saison au poste de numéro 1 mondial. Pas mal pour un mec qui n’a pas disputé l’Open d’Australie et qui s’est fait sortir au premier tour à Wimbledon. Une machine.
Un Ibère farceur
Interrogé par la télévision britannique, Andy Murray a fait une révélation sur Rafa Nadal. L’Espagnol aime faire des canulars par texto :
« Il m'a fait une blague une fois à New York. J'étais en train de dîner avec ma copine lorsque, pendant le repas, je reçois un message sur mon téléphone. Le numéro m'était inconnu et le texto disait : "Oh mon Dieu Andy, tu es tellement sexy ce soir. C'est une honte que tu sois accompagné par ta petite amie." Évidemment je ne l'ai pas tout de suite dit à ma copine, ne voulant pas gâcher le repas. Sur le chemin du retour, j'ai compris qui c'était, Rafa me regardait de loin et pouvait admirer ma réaction ! »
Drôle.
Pendant ce temps-là, dans le reste du monde…
Les dessous de Wawrinka
Qui a dit que les Suisses n’avaient pas l’humour ? Le site minipeople.ch a comme habitude de faire des petits strips caustiques sur l’actualité du tennis. Cette semaine, ce sont les stars locales Stanislas Wawrinka et Roger Federer qui ont fait l’actualité. Il était question de slips.
Del Potro garde la foi
Une histoire divine. Avant son entrée en lice au Masters de Londres, Juan Martin Del Potro s’est fait voler son sac dans une gare de Paris. Sauf que ce vol a bouleversé le joueur. L’Argentin ne souhaite pas retrouver ses raquettes ou son argent, non, il veut surtout récupérer le chapelet offert par son compatriote, le pape François :
« C'est un honneur et une fierté de posséder quelque chose béni par le pape. Cela ne m'arrivera peut-être plus jamais. Je ne peux plus prier avec mon chapelet mais je n'oublierai jamais le geste du pape. J'espère toujours que l'on me rendra mes biens. Sinon, je ne pourrais que rêver d'un autre cadeau béni du pape, ce qui serait merveilleux pour moi et ma famille. On m'a pris une part de moi et de ma vie. C'est impossible de ne pas y penser. Cela fait mal. »
Alors le cinquième mondial a publiquement lancé un appel à son ou ses voleurs :
« J'aimerais juste, s'il vous plaît, que l'on me rendre mon chapelet et les choses, qui me sont très chères, dans le sac. Je vais essayer de rester positif et de me sentir mieux jour après jour. C'est assez difficile pour moi de profiter de ce fantastique tournoi après ce qu'il s'est passé samedi dernier à Paris. »
Amen.
Graff prend de la hauteur
Joueuse, Steffi Graff était déjà au-dessus du lot. Retraitée, c’est encore le cas avec ce petit montage photos de l’Allemande en train de s’essayer au trapèze avec ses enfants. Ses montées au filet sont toujours aussi aériennes.
Andy Murray et la grosse tête
Andy Murray et son équipementier Head ont présenté le dernier modèle de raquette de la marque, la fameuse Radical. Histoire de bien la mettre en avant, le fabriquant de raquettes a fait les choses en grand.
Benoît Paire au soleil
Quand Benoît Paire ne se dépouille pas sur le court il fait saliver avec ses photos de vacances. Cette fois, le Français se la coule douce au Mexique avec un compatriote, Edouard-Roger Vasselin. A Cancun. Pépère.
Le chiffre : 11,65 millions
Même après une saison en demi-teinte, Roger Federer demeure le tennisman le plus riche de tous les temps. Après sa douzième participation au Masters, le Suisse peut se vanter d’avoir encaissé 11,65 millions de dollars dans sa carrière… rien qu’avec le Masters. C’est déjà beaucoup plus qu’Ana Ivanovic dans toute sa carrière (10,77 millions de dollars).
Wawrinka, le petit chouchou
Le Suisse Stanislas Wawrinka, invité surprise des Masters, est très vite devenu la coqueluche du tournoi. Pour Le Matin, un quotidien suisse, le joueur a tenté de trouver des explications à cette soudaine popularité.
« Bonne question. Je ne sais pas. J’essaie juste d’être naturel sur le terrain. Le fait que je suis là pour la première fois, que je suis le petit nouveau, ça donne peut-être plus envie aux gens de me voir et de m’encourager. Je suis le seul qui est passé de la 17e à la 8e place. Les autres étaient déjà installés dans le Top 10. C’est comme si le public m’avait un peu découvert cette année. Je pense que mon jeu plaît. Ça change un peu avec mon revers à une main. Je varie beaucoup. Je fais des choses qu’on ne voit pas chez tout le monde. J’essaie toujours d’être positif et naturel. »
Et visiblement, ça paye.
Wilson fait de la pub
Pendant que Head a fait d’Andy Murray sa tête de gondole, Wilson continue de tenir le cap avec ses ambassadeurs de luxe. Déjà tournée vers la prochaine saison, la marque au « W » a balancé ce petit making-of avec Roger Federer, Grigor Dimitrov, Milos Raonic, Serena Williams, Laura Robson et Victoria Azarenka. Une fine équipe.
100% Becker
Au premier tour du Challenger de Ortisei, le hasard a offert au public une réunion de « famille ». Benjamin Becker, 66ème joueur mondial, affrontait Richard Becker, issu des qualifications. Rassurez-vous, il n’y a aucun lien de parenté, outre leur nationalité. Résultat du match ? Benjamin a battu Richard, 7/6 6/3.
Graff/Agassi, le couple exceptionnel
La firme nipponne Nintendo a publié sa nouvelle campagne de pub pour sa console de jeux Wii U. On le sait, Steffi Graff et André Agassi sont des amoureux des jeux vidéo. Pour les besoins de ce spot, essentiellement diffusé en Angleterre, le Kid de Las Vegas a dû faire exprès de perdre. Enfin on espère…
Tsonga transforme l’essai
Présent au Masters de Londres en tant que remplaçant, Jo-Wilfried Tsonga s’ennuie un peu. Pas grave, il a trouvé de quoi s’occuper, notamment avec son équipementier. D’ailleurs, il a reçu le nouveau maillot de l'équipe de France de rugby, floqué du numéro sept, son chiffre fétiche. Un beau bébé.
Petkovic se met au ping-pong
Comme beaucoup de ses collègues, Andrea Petkovic est en vacances. Pour autant, la joueuse ne lâche pas la raquette. Elle a juste changé de taille de tamis. Sur Twitter, l'Allemande a posté une photo d'elle jouant au ping-pong. A la cool. Pas certain qu’elle soit plus prenable sur une si petite surface.