Alors que la Russe a fait la Une de pas mal de magazines de mode, Caroline Wozniacki a changé de boulot, David Ferrer a une promenade à son nom en Espagne et Serena Williams nage dans le pognon. Plus dure la vie.
Maria, So Glam'...
Le printemps arrive et Maria commence à se dénuder. Ainsi, dans le numéro du mois de mai de Glamour, la Russe hérite d'une pleine page. On y apprend notamment ce qui l’inspire: « Gagner Roland-Garros, ça a été l'un des moments les plus incroyables de ma carrière. Je me suis tellement battue. »
...mais aussi so sexy
Après la couverture du Glamour russe, voici la petite photo en maillot de bain, regard par-dessus l'épaule. Grrrr. Le tout gratuitement sur sa page Facebook.
Maria se met au barefoot
Décidément, peu de tennis en ce moment pour la Russe mais beaucoup de poses mannequin. Voilà que la blonde enlève ses talons pour privilégier le barefooting. Tendance.
Maria proche des 500 victoires en carrière
Revenue récemment à la deuxième place du classement WTA, la Russe est proche d'une 500ème victoire en carrière. Pour le moment, Sharapova en est à 491 victoires pour 118 défaites. Si tout se passe bien, elle devrait boucler la 500ème à Roland-Garros. A titre de comparaison, Venus Williams facture un ratio de 631-159, tandis que Serena affiche elle des stats de 577-110. Le chemin est encore long.
Le chiffre : 25,1 millions
Alors que Serena vient de devenir l'Américaine la plus riche de l'histoire du tennis(voir ci-dessous), Sharapova affiche un prize money de 25 millions de dollars (19 millions d’euros). Ce qui fait d'elle la troisième joueuse la plus bankable selon Forbes. La seconde place étant squattée par l'autre sœur Williams, Venus, avec 28 millions.
Les bonbons sont en magasin
Voilà, les bonbons de la marque Sugarpova – celle de Maria Sharapova - sont arrivés dans les boutiques américaines, et notamment à Manhattan. La joueuse a donc fait sa crâneuse sur sa page Facebook avec ce kit de présentation.
Pendant ce temps-là, dans le reste du monde…
Cornet et la méthode polonaise
Que fait Alizé Cornet quand elle s'entraîne en Pologne ? Elle zieute ses voisins qui s'échangent des balles tranquillement. Sauf que les autochtones tournent au rouge. La Française ne se prive pas de le mentionner sur sa page Facebook : « Courts d'entraînement, les papys polonais font leur petit double avec une bouteille de vin pour les changements de côté hahaha!! » A chacun sa botte secrète.
Dans les pas de David Ferrer
Javea, ses plages, ses boîtes de nuit, son Burger King donnant sur la mer et sa promenade David Ferrer. Et oui, l'Espagnol est originaire de cette ville balnéaire dans la région d'Alicante. Pour rendre hommage à l'enfant du pays, la municipalité a décidé de renommer son bord de mer "promenade Ferrer". Respect.
Raonic, ce glouton
Milos Raonic est une montagne. Pas étonnant qu’il mange pour quatre. Notamment quand il va au cinéma. La preuve, le Canadien s'est enfilé un pop-corn géant avant de poster le cliché sur Twitter sous la mention "#PopcornIsntJustForMovies". Encore un qui a dû faire la blague du film La Boum.
Le bouquet jaune
Bienvenue à Tansen au Népal. Quel rapport avec le tennis ? Aucun. Ah si, Narayan Timalsina, un régional de l'étape de 27 piges a battu un record : il a réussi à tenir 24 balles jaunes dans sa main droite, et ce pendant 1h30. Record du monde. Il déloge l'Italien Silvo Sabba qui avait fait le show avec 22 balles. Bon, ça semble facile mais il faut savoir que Narayan s'entraînait depuis deux ans.
Tecau à l'heure
Horia Tecau n'est pas le joueur roumain le plus bankable du circuit. Pourtant, le Roumain spécialisé dans le double vient de signer un gros partenariat avec BMW dans son pays. Histoire d'immortaliser l'instant, le joueur a fait un shooting très bling-bling. Pas mal pour le septième joueur de double mondial.
Wozniacki en caddy
On le sait, Caroline Wozniacki et Rory McIlroy s'aiment comme des malades. A tel point que la Danoise, ancienne N°1 mondiale WTA, a décidé de se muer en caddy pour son homme, actuel N°2 mondial de golf. C'est le joueur qui a révélé l'information en conférence de presse. Et force est de constater que la collaboration se passe plutôt bien...malgré un swing encore hésitant.
Le chiffre de la semaine :
Ça y est, Serena Williams est numéro un US. Hommes et femmes confondus. Oui mais numéro un de quoi ? Des prize-money en carrière. Après sa victoire à Charleston, elle vient de dépasser Pete Sampras de 24 000 dollars pour un total de...suspense...43 304 272 dollars. BOUM.
Pour l'histoire, voici le top 5 US :
1. Serena Williams : $43,304,272
2. Pete Sampras : $43,280,489
3. Andre Agassi : $31,152,975
4. Venus Williams : $28,668,243
5. Lindsay Davenport : $22,166,338
Radwanska se croit en NBA
Agnieszka Radwanska et Mariusz Fyrstenberg jouent en double et claquent un point. Que font-ils ? Un "chest jump", à savoir poitrine contre poitrine. Comme en NBA. Normal.
Les Bryan en mode rock
On connaît le talent des frères Bryan en double. Sans doute la meilleure paire de l'histoire US. Et force est de constater que les jumeaux sont aussi doués en musique. Les Bryan ont ainsi donné un concert à Houston durant la soirée des joueurs.
Le choix du cœur
C'est devenu une habitude, le monde du tennis et celui du football multiplient les passerelles. Alors quand le tirage au sort des demi-finales de la Ligue des champions sort, les Espagnols et les Allemands envoient du bois sur les réseaux sociaux. Ainsi le premier à tirer a été Rafael Nadal : « Intéressants tirages de Champion's League ! Je souhaite bonne chance aux équipes espagnoles. Barça-Madrid serait une grande finale. » Feliciano Lopez, lui, a tweeté : « Finale anticipée en demie : Madrid - Dortmund. » Côté allemand, seule Angelique Kerber a clairement déclaré sa flamme à son club : « Alors maintenant, contre le FC Barcelone! Bayern go! ». On attend les sorties verbales de Joey Barton sur Serena Williams durant Roland-Garros...
PHM garde le moral
Dans le dictionnaire, à côté de "poissard", on y trouve une photo de Paul-Henri Mathieu. Mais malgré son forfait pour Monte-Carlo, le Français garde le moral et continue d'enquiller les séances d'entraînement sur terre battue. Et il se fait mal, physiquement parlant. En témoigne cette sortie sur son compte Twitter : « 3h d'entraînement sur terre battue : jambes lourdes...chaussures fatiguées...chaussettes inlavables..! »
Tipsarevic, l'alcolo
Ça fait longtemps que le Serbe ne s'était pas manifesté brillamment sur Twitter. Présent à Monte-Carlo, le joueur s'est posé une question existentielle : « Suis-je le seul à trouver que les bouteilles du tournoi ressemblent à des bouteilles de Vodka ? ». Oui, tu es le seul.
Par Mathieu Faure
