Tu sais que tu es en deuxième semaine de Roland-Garros quand...

2 juin 2015 à 10:02:31

Pour savoir si votre joueur ou joueuse préféré(e) est bien en deuxième semaine de Roland-Garros, faites le test du Tu sais que. Car il y a quelques signes qui ne trompent pas.

En hommage à tous ces joueurs et joueuses qui ont réussi à sortir indemnes des griffes de la première semaine de Roland-Garros. Entre canicule, ouverture de paquet de chips et ampoules à tous les doigts de pied.  

 

…sur ton parcours, t'as tapé un Australien, un Sudaf’ et un Coréen. Élevé par Bollettieri.

 

…ton fournisseur te propose du rab de fringues. C'est la première fois que c'est lui qui t'appelle.

 

…t'es allé repérer où étaient les courts principaux. Jusqu'ici, tu connaissais que le 15 et le 17.

 

…tu découvres que la vraie épreuve, c'est l'interview de Nelson Monfort.

 

…Mouratoglou analyse ton jeu sur Eurosport. Au lendemain de celui de Djokovic. Tu te sens costaud là.

 

…tu briefes tes parents au cas où des journalistes se pointeraient : « Ne racontez pas que, petit, je bouffais mes crottes de nez, hein. »

 

…Radek Stepanek s'est arrêté pour te faire marrer. Oui, tu es une joueuse. Et il veut te pécho.

 

...pour toi, le tennis se divisent en deux catégories : ceux qui ont un gros lift et ceux qui creusent.


...toi t'es dans les deux,  tu creuses et tu limes comme une brute.

 

...tu es Argentin. Ou plus largement Sud-Américain.

 

…on a posé une question sur toi à Djokovic. Et il voit à peu près qui tu es. C'est bon, tu peux mourir tranquille.

 

...tu n'as pas joué contre Rafael Nadal.

 

... Roger Federer t'a dit bonjour au players’ lounge.

 

...tu as annulé ta participation au Challenger de Vicenza la semaine prochaine.

 

...tu es en Une de l'Equipe avec Yannick Noah. Ah oui, tu es Français.

 

...tu ne donnes plus tes conférences de presse dans la salle 4 à peine plus grande que ton placard à chaussures.

 

...personne ne te félicite. Ah oui, tu es Espagnol. Tu as juste fait le job.

 

...tu te dis que Martin Verkerk est bien allé en finale. Alors pourquoi pas toi.

 

...tu as tellement d'ampoules que tu pourrais illuminer Paris.

 

...tu te déplaces en glissant dans ta chambre d'hôtel, question de réflexe. Manque de bol, ça marche moins bien sur la moquette. 

 

...tu as la marque du t-shirt et des chaussettes. 

 

...tu vois de plus en plus de gens qui ne connaissent pas le tennis en tribunes. Oui, ceux qui étaient à Cannes mais qui ne connaissent rien au cinéma. 

 

...tu ne passes plus sur Eurosport

 

...tu es Français et tu te sens comme un cycliste tricolore le 14 juillet sur le Tour de France : faut que tu fasses un truc, quitte à exploser en vol. 

 

…t'as croisé Nadal et t'as lancé un « Hey Rafa » avec un clin d'œil complice. La confiance, quoi.

 

…maintenant, faut voir avec ton agent pour une interview.

 

...tu ne joues plus sur les courts annexes.


...tu ne demandes plus à ton chauffeur de passer devant la tour Eiffel en rentrant à ton hôtel.

 

...tu tutoies le mec qui vérifie les accréditations à l'entrée du players’ lougne.


...les bandages commencent à apparaître un peu partout sur ton corps.

 

...t'as gagné 3 matchs.

 

Par la rédaction de So Press

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