Jouant pour la première fois de son instrument à cordes à l’âge de 5 ans, Léo Cohen-Bacrie en est vite devenu l’un des meilleurs jeunes virtuoses de l’Hexagone. Au point de devenir champion de France des 11-12 ans en 2018. Le plus impérissable de ses souvenirs sur un court.  Aimant donné des notes offensives à ses coups de raquette, il a une préférence pour les frappes de revers. Parmi les trois aspects du tennis que sont la technique, le physique et le mental, c’est dans ce dernier qu’il estime avoir le plus besoin de s’améliorer. Pour pouvoir se forger une esprit capable de résister aux pressions les plus fortes, à l’instar de son champion favori : Novak Djokovic.

Bien que plutôt “d’un caractère solitaire”, il a, en plus du tennis, développé ses qualités physiques grâce à la pratique d'un sport d’équipe : le football. Ayant une préférence pour la terre battue, Léo espère glisser un jour sur l’ocre de Roland-Garros pendant la quinzaine printanière. Jusqu’à y soulever le trophée, son rêve. Son talent caché - “à l’aise pour s’exprimer à l’oral” - devrait lui être utile alors au moment de prendre la parole devant tout un stade, trophée en mains, lors de la remise des prix. Mais avant de devenir l’un des chefs d’orchestre du circuit masculin, il sait qu’il doit continuer à répéter ses gammes à l’entraînement pour pouvoir jouer la plus belle mélodie possible.