Yes he MolCAN  ! En 2021, le Slovaque, classé 255e mondial, était sorti des qualifs au 250 de Belgrade pour se hisser en finale. Malgré la défaite, Molcan se souvient de ce match comme un déclic qui a changé sa carrière. Le gaucher, né en 1997, a depuis disputé deux nouvelles finales en 2022, sur terre battue à Marrakech (où il a battu Auger-Aliassime son premier Top 10), et Lyon. Fan de tatouages – il s’est offert le premier le lendemain de ses 18 ans –, il affiche sur ses bras et son torse tigre, buddha et fleur de lotus, symboles de valeurs qui lui tiennent à coeur. Sans oublier la date de naissance de sa mère Andréa, qui a déménage avec lui à Bratislava alors qu’il avait 12 ans pour lui donner toutes les chances de progresser  ! Alors forcément, Alex Molcan, qui s’appuie sur un jeu agressif, croit en lui. Et pour continuer à monter dans la hiérarchie mondiale, il travaille avec Marian Vajda, ancien coach d’un certain… Djokovic. Tiens, tiens  !