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Yoshka Sborowsky

Informations de Yoshka Sborowsky

Revers à une main, attaquant avec le coup droit en point fort et Wimbledon comme tournoi favori, Yoshka Sborowsky est fan de Roger Federer. Pour le meilleur, et pour le pire. “J’ai eu la larme à l’œil lors de la finale de l’Open d’Australie 2017 remportée par Federer contre Nadal, nous a-t-il confié. Mon pire souvenir de téléspectateur ? La finale de Wimbledon 2019 perdue contre Djokovic après avoir eu deux balles de match (sur son service).” Qualités physiques développées, aussi, par le football, la danse et l’escalade, Yoshka estime toutefois que le domaine technique est celui où il est le plus en avance. Joueur d’un naturel offensif, il doit notamment, de son propre aveu, progresser dans la régularité.

 

Champion de France des 11/12 ans 2019, il a connu cette même année son “plus mauvais souvenir sur un court” : une défaite en finale du Super 12 d’Auray, l’un des tournois les plus prestigieux au monde pour les 12 ans et moins. Son plus beau souvenir ? “Avoir pu échanger des balles avec Dominic Thiem, la semaine avant qu’il fasse finale à Roland-Garros (2019).” Rêvant de devenir numéro 1 mondial, Yoshka a débuté le tennis à 7 ans, en jouant au mini-tennis avec son paternel. Si “être comédien (sourire)” est l’un de ses talents cachés, Yoshka le sait, le terrain n’est pas une scène où faire l’acteur. En faisant semblant, impossible de percer. Car, comme le dit sa citation favorite, signée pierre de Coubertin : “Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre.